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Israël et le Hamas ont fini par approuver un accord de cessez-le-feu, dont certains des "derniers détails" doivent encore être fixés.

«Les groupes de la résistance sont parvenus entre eux à un accord et ont informé les médiateurs de leur approbation de l’accord d’échange et de cessez-le-feu», ont indiqué des sources palestiniennes proches des discussions.

Depuis quelques semaines, les négociations, en vue d’un accord d’échange de prisonniers et de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, ont repris. Avec des signaux encourageants.

Un érudit islamique de Gaza a émis une décision juridique - ou fatwa - dénonçant l'attaque du 7 octobre 2023 contre Israël par le Hamas. La fatwa de Salman al-Dayah condamne les actions du Hamas pour violation des principes islamiques régissant le djihad, car elles ont causé des dommages aux civils israéliens et gazaouis.

Lors d'un discours aux AMFIS 2024, l'université d'été de La France insoumise (LFI), Jean-Luc Mélenchon a évoqué une fois de plus la situation à Gaza en parlant de "génocide".

Ce lundi à Tel-Aviv, le chef de la diplomatie américaine a rencontré le président israélien, Isaac Herzog. C’est le neuvième voyage du secrétaire d’État américain en Israël depuis le début de la guerre.

Le directeur de l'hôpital al-Shifa, Mohammed Abou Salmiya, a affirmé avoir été soumis « à de sévères tortures » lors de sa détention en Israël et avoir subi une fracture au pouce.

La guerre d’Israël contre le Hamas se poursuit autour de Rafah,

La communauté internationalité a vivement condamné une frappe de l’armée israélienne à Rafah dimanche soir, qui a fait 45 morts et 249 blessés dans un camp de déplacés. Israël a toutefois poursuivi ses frappes dans la zone dans la nuit de lundi à mardi.

Dans la nuit de dimanche à lundi, des frappes de l’armée israélienne sur un camp de réfugiés à Rafah ont fait au moins 45 morts et 249 blessés.

La CIJ exige également la «libération immédiate et inconditionnelle» des otages retenus par le Hamas à Gaza.

Au lendemain des massacres et atrocités perpétrés le 7 octobre par le Hamas et d’autres organisations terroristes basées à Gaza, de nombreuses ONG se sont engagées dans une campagne d’inversion des atrocités, à l'encontre d'Israël.

Benny Gantz, ministre du cabinet de guerre israélien, a donné trois semaines au Premier ministre Benyamin Netanyahou pour adopter un « plan d’action » stratégique sur l’après-guerre dans la bande de Gaza, faute de quoi Benny Gantz démissionnera.

Le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) a estimé jeudi que la reconstruction devrait coûter entre 30 et 40 milliards de dollars.

Nous constatons l’attrait pour l’islamisme, nourri, en Occident, d’abord par la culture de l’excuse, ensuite par une idéologie dite « woke » qui voit dans chaque critique, même justifiée, qui vise un musulman, même un islamiste, l’expression d’un racisme ou d’un mépris.

Des documents confidentiels permettent de mettre en lumière la vie des Palestiniens et l’emprise du Hamas dans leur quotidien.

La guerre en Syrie se poursuit et même avec une recrudescence dans son intensité ces dernières semaines.

De nombreux experts prédisaient une déroute de l'armée israélienne à Gaza avec d'énormes pertes sur le plan humain.

De nombreuses nations, dont la France, les États-Unis et la Chine, exigent d’Israël qu’elle stoppe son assaut. Mais pendant ce temps, cela donne le sentiment que le Hamas passe entre les gouttes.

Et pourtant, il tourne en boucle.